[Chronique de Padhiver] I - Le fléau

  • personne ne savait comme la maladie s'était répansue aussi rapidement ; la garde impériale d'Aribeth avait pourtant pris toutes les précautions afin de mettre en quarantaine les premières personnes contaminés, mais personne, pas même les moines médecins, n'auraient pu prévoir que tous assistaient au commencement d'une ère nouvelle. Les gardes tombaient tour à tour, l'épidémie se propageait rapidement de quartier en quartier, des émeutes se déclenchaient afin de forcer les vastes portes de la cité. Peut-être, me direz-vous, auriez-vous fait la même chose, peut-être auriez-vous tenté de fuir de la cité et de vous réfugier dans une autre cité, dans une taverne où, verre après verre, vous finiriez par raconter vos exploits et passeriez par un héros au yeux des quelques ivrognes vous prêtant l'oreille ? A cela vous répondrai-je : l'égoïsme est-il le meilleur moyen de sortir vivant de toute cette histoire ?
    Quoiqu'il en soit, Padhiver était devenu une arène où débutait une guerre civile. La psychose était devenue collective lorsque la rumeur qu'il n'y avait aucun remède contre la Mort Hurlante, circula dans la cité. MAis Aribeth savait que cette rumeur était fausse, quoi qu'en disent les guérisseurs.


    Padhiver avait fait vent d'un recrutement massif à l'Académie régionale de formation des guerriers juste avant de sceller ses portes. L'administrateur de Padhiver, sous les conseils avisés d'Aribeth, proposait aux aventuriers de les rejoindre en PAdhiver pour une mission de la plus haute importance. Bien évidemment, et malgré la très forte récompense (forte était toutefois un bien grand mot, car le fléau avait vidé les trois quarts des caisses de la ville), tout homme aussi cupide qu'il soit ne s'aviserait pas de braver une mort certaine même pour le plus grand des trésors.


    La nouvelle s'était répandue jusqu'à Port LLast, où moi-même et d'autres maîtres d'armes s'y étaient rejoints comme tous les ans pour célébrer le bicentenaire de la mort du guerrier légendaire Alschtec. Dans la taverne locale, j'y ai rencontré à plusieurs reprises Hellham, lui-même arrivant de la fameuse cité marchande Avalon, au Nord-est de ces terres. Les événements en date nous ont poussé à débattre sur une éventuelle intervention dans la cité de Padhiver. Comme vous vous en doutez, beaucoup de ceux qui participaient à la discussion ont refusé l'aventure sans même y réfléchir davantage. mais Hellham semblait assez séduit par l'idée. Au final, nous étions douze à vouloir aider Padhiver.


    Aux lueurs de l'aube du troisième jour, je pris la parole :
    - mes Amis, je vous suis reconnaissant de nous accompagner dans la cité de Padhiver. Comme chacun d'entre vous le sait, la Mort Hurlante fait de nouvelles victimes chaque jour. Lady Aribeth a besoin de nous, même si je ne sais pas encore quelle sera notre mission. Une fois à l'intérieur de la cité, impossible d'en ressortir ; par conséquent, je demande à chacun d'entre vous de réfléchr une seconde fois au danger de cette mission. Si quelqu'un souhaite revenir sur sa parole, qu'il parle mainteant.


    Personne ne prit la parole mais l'un d'entre eux posa une question :
    - quel est ton nom ?


    - Athaan Witquester, demi-elfe magicien, pour vous servir.

    Ketchupiz le Gnôme
    alias athaan Witquester, Paladin Forgeron Capitaine de la milice de Beldargan.
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